A un moment, il faut arrêter de croire que les possibilités se limitent seulement à naturel et produits par manipulation génétique dans un labos.
Il existe une dernière possibilité qui est une erreur de manipulation lors des prélèvements comme le montrent les photos qui montrent une absence de protection suffisante vis à vis d’un virus transmissible de l’animal à l’humain.
Les protections sont suffisante sur des virus non transmissible aux humains, car le masque alors permet d’éviter la contamination des animaux par les scientifiques lors des prélèvements mais pas contre la transmission aux scientifiques d’un virus qui serait transmissible aux humains (c’est les même cas de transmission qu’a l’hôpital avec les masques chirurgicaux).
Enfin, contrairement au Sras et à la grippe de hong kong, très peu d’animaux ont été tués pour limiter la propagation de l’infection qui dés le départ était limité aux humains pour les autorités. Bein que l’on voit que la détection chez l’animal pose des problèmes.
Pour chaque chat, des prélèvements rectaux d’une part, et dans le nez et le pharynx d’autre part, ont été effectués. Ils ont été soumis à un test qRT-PCR ciblant deux gènes du Sras-CoV-2. "Un chat a été testé positif par qRT-PCR sur prélèvement rectal, ce qui a été confirmé par le centre collaborateur de l’OIE [Organisation mondiale de la santé animale] à l’Institut Pasteur," indique l’EnVa dans son communiqué. “Les écouvillons nasopharyngés de cet animal ont été testés négatifs. Ce chat présentait des signes cliniques respiratoires et digestifs” .
Trois tests dont deux négatifs par les difficultés de mise en oeuvre et testé seulement car signes cliniques alors que la maladie est essentiellement asymptomatique.