Free n'arrive pas à faire condamner l'UFC-Que Choisir pour diffamation
Nouvel épisode dans la guerre qui oppose Free à l'UFC-Que Choisir.
Seulement, le tribunal a estimé que les propos de l'association n'avaient aucun caractère diffamatoire car justifiés par des "éléments sérieux". En gros, le juge a considéré qu'à cette époque, Free faisait bien preuve d'un certain autisme vis-à-vis de sa clientèle. Alain Bazot, rédacteur en chef du magazine, a donc été relaxé par la cour. Une décision finalement assez attendue car la liberté d'expression garantit toujours le droit de libre critique, du moment qu'elle ne tombe pas dans l'insulte gratuite et injustifiée.