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Orange cherche encore un partenaire pour Dailymotion

Orange continue de chercher un partenaire français ou étranger pour gérer avec lui Dailymotion, qu'il détient à 100 % depuis début 2013. Mais l'opérateur historique n'a pour l'instant pas trouvé de partenaire répondant à ses critères.

Orange n'a pas renoncé à trouver un partenaire pour gérer Dailymotion, qu'il détient en totalité depuis janvier 2013. L'opérateur historique a en effet réaffirmé son intention d'ouvrir le capital du site de vidéos français lors d'un conseil d'administration survenu fin septembre, selon les informations du journal Le Monde, en vue de soutenir son développement à l'international.

Plusieurs candidats potentiels ont été mentionnés cette année, mais les discussions n'ont jamais atteint le niveau de celles conduites avec Yahoo l'année dernière. Canal+ et Orange ont certes discuté, mais les deux parties ne sont pas parvenues à s'entendre ni sur le niveau de participation de la chaîne cryptée (celle-ci voulant être majoritaire), ni sur la stratégie à moyen et long terme pour Dailymotion.

Une autre piste, celle de Microsoft, a aussi été envisagée, mais celle-ci n'a manifestement rien donné. Le quotidien Les Échos indiquait ce printemps que la firme de Redmond souhaitait investir dans Dailymotion avec une autre société (en l'occurrence Canal+), mais que l'impasse des discussions entre Orange et Canal+ a pour l'instant incité le groupe américain à temporiser.

Orange préférerait un partenaire américain, pour imposer Dailymotion sur ce marché et avoir une visibilité accrue dans le reste du monde. C'est pour cette raison qu'une alliance avec Yahoo a commencé à se dessiner, avant l'intervention très remarquée de l'ancien ministre du redressement productif Arnaud Montebourg, qui ne voulait pas laisser le site sous gouvernance américaine.

Cependant, à en croire Stéphane Richard, le PDG d'Orange, le groupe n'est pas fermé à des propositions françaises ou venant d'autres pays que les États-Unis. C'est ce qu'il indiquait en tout cas en début d'année, précisant que, dans le cas de l'Hexagone, des discussions avec des entreprises "plutôt dans le monde des contenus" étaient en cours. Comme TF1 ? L'hypothèse n'est pas à exclure.