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Google aurait proposé 30 milliards de dollars pour racheter Snapchat... sans succès

Google n'a pas son pareil pour désirer des entreprises qui réussissent là où le géant a toujours échoué, notamment en matière de réseaux sociaux. Ainsi, en 2016, la société de Mountain View aurait proposé la somme colossale de 30 milliards de dollars au jeune Evan Spiegel, qui a logiquement décliné. 

La rumeur ne cesse d'enfler aux abords de Los Angeles. Business Insider assure ainsi avoir entendu trois sources confirmer que Google (Alphabet) aurait bien essayé de s'offrir Snapchat avant que la startup ne devienne Snap. Inc. Secret de polichinelle dans les deux entreprises, le montant de la transaction imaginée par Google est néanmoins surprenant : Alphabet était prêt à offrir 30 milliards de dollars à Evan Spiegel et son associé.

Polichinelle

Le média américain explique avoir eu des échos de cette discussion l'an passé, puis avoir de nouveau, récemment, entendu des « insiders » remettre cette offre colossale sur la table.

Il semble difficile de savoir dans quel contexte ces discussions ont pu avoir lieu. Toutefois, les relations entre Mountain View et Snap seraient anciennes et cordiales, au contraire de la discorde qui oppose désormais Zuckerberg et Evan Spiegel, depuis que ces derniers se sont confrontés sur une offre d'achat d'un montant inférieur à celui proposé par Google.

Google aurait débuté son approche de Snapchat en mai 2016, quand la startup s'apprêtait à se lancer dans une levée de fonds (de série F) qui a abouti à une valorisation de 20 milliards de dollars. CapitalG, fonds d'investissement d'Alphabet, participait par ailleurs à cette capitalisation qui précédait l'IPO.

Enfin, une autre source prétend que Google et Snap ont poursuivi les discussions jusqu'en mars 2017, soit peu avant les premiers pas de la startup de Spiegel à Wall Street. Contacté par le média américain, un porte-parole de Snap a nié les rumeurs. Google préfère ne pas répondre.

Alors que les actions de Snap et sa valorisation sont à un niveau historiquement bas, l'idée d'un rachat à plus du double de la valeur de la société par Google doit faire rêver certains investisseurs.

Pourtant, l'opiniâtreté de Spiegel semble difficilement achetable : le CEO, souvent décrit comme têtu et extravagant -- il évite par choix toutes les traditions de la Vallée, allant jusqu'à s'installer à Venice, loin des geeks -- n'a définitivement aucune intention de livrer son bébé aux nerds de Facebook et Google. Et cela, malgré le flou entretenu sur l'avenir de sa startup.