Une erreur dans le texte ?

C'est le bon endroit pour nous l'indiquer !
Attention, ce formulaire ne doit servir qu'à signaler une erreur. N'hésitez pas à utiliser la page de contact pour nous contacter ou nous faire part de vos suggestions. Merci.

Etape 1

Cliquez sur les paragraphes contenant des erreurs !

Google serait dans les starting-blocks pour croquer Yahoo

Parmi les entreprises intéressées par l'achat des activités de Yahoo figurerait Google. Le dépôt d'une offre par la firme de Mountain View afin de récupérer le cœur de business du portail web aurait du sens.

Google pourrait faire une offre en vue d'acquérir certaines activités de Yahoo, dans le cadre de la vente par tranches qui se profile pour l'ancienne étoile du web. C'est ce que rapporte Bloomberg, qui ajoute que le business historique du portail américain est ce qui intéresse le plus la firme de Mountain View.

Plusieurs autres sociétés sont présentées comme prêtes à récupérer des morceaux de Yahoo si le groupe est finalement découpé. Ont été cités Microsoft, les opérateurs Verizon et AT&T ainsi que le géant des médias Time. Au total, le démembrement de Yahoo intéresserait une quarantaine d’entreprises et de fonds d’investissement.

Depuis sa restructuration en 2015, Google est désormais une filiale de la holding AlphabetLa firme de Mountain View ne s'occupe désormais que de son métier de base -- à savoir, le web --, laissant toutes ses autres activités, qui étaient parfois très différentes les unes des autres, à des branches spécialisées.

Le web étant le cœur du métier de Google, il n'y a rien de surprenant à voir le groupe chercher à s'y consolider.

C'est cette filiale qui s'occupe des célèbres YouTube, Android, Maps, AdWords, Drive, Gmail et de nombreux autres services plus ou moins utilisés. Sans parler, bien sûr, de la fameuse recherche en ligne. Une offre sur des bouts de Yahoo aurait du sens, puisque les enchères qui seraient remportées s'intégreraient sans problème dans cet écosystème.

Si Google est effectivement intéressé par Yahoo, il va devoir en tout cas prendre assez vite une décision. En effet, la presse américaine indiquait fin mars que les acheteurs potentiels sont invités à déposer une offre préliminaire d'ici le 11 avril. Il ne reste donc plus qu'une poignée de jours avant la date limite.