Une erreur dans le texte ?

C'est le bon endroit pour nous l'indiquer !
Attention, ce formulaire ne doit servir qu'à signaler une erreur. N'hésitez pas à utiliser la page de contact pour nous contacter ou nous faire part de vos suggestions. Merci.

Etape 1

Cliquez sur les paragraphes contenant des erreurs !

Bouygues Telecom lance Ideo, un forfait quadruple-play à prix cassé

Free l'avait annoncé, Bouygues l'a fait. C'est plus facile lorsque l'on a déjà accès aux licences 3G. L'opérateur lance Idéo, un forfait quadruple-play à prix cassé qui réunit accès à internet, télévision et téléphonie fixe et mobile.

Alors que Free attend toujours d'avoir la quatrième licence 3G pour offrir lui aussi des forfaits réunissant mobile, internet, télévision et téléphonie fixe, Bouygues Telecom avance ses pions et lance son forfait quadruple-play Ideo, calqué sur les promesses de son concurrent.

Commercialisé à partir du 25 mai prochain, le forfait de base à 44,90 € par mois sera composé d'une offre triple-play BBox classique accompagnée de 2 heures d'appels mobiles. Les abonnés pourront envoyer un nombre illimités de SMS et MMS, consulter leur messagerie et envoyer des mails, et bénéficieront de la navigation internet mobile et de la TV en illimité, en 3G+. Soit une offre proche des premiers forfaits pour iPhone chez Orange... l'ADSL en plus. Il faudra toutefois s'abonner pour deux ans, ou alors accepter de payer 7 euros de plus par mois pour réduire l'engagement à douze mois.

Les abonnés plus consommateurs pourront souscrire d'autres offres jusqu'à 75,90 € par mois, qui autorisera en plus des appels illimités vers tous les opérateurs mobiles à partir de 18 heures, et le week-end. Il sera aussi possible de rajouter 6 euros par mois par heure de mobile supplémentaire, pour des forfaits de 3h, 4h et 6h.

Ces forfaits, qui réduisent le coût du forfait de base d'environ 30 euros par mois pour l'équivalent chez Orange, font sourire. Lorsque le Président de Free Xavier Niel avait lui-même promis de diviser par deux le prix des forfaits, Martin Bouygues avait fait du chantage à l'emploi, en assurant que "si le gouvernement autorise un nouvel entrant à venir faire de l'ultra-" low cost " dans le mobile, il prend une lourde responsabilité", puisque "une guerre des prix peut provoquer de 10.000 à 30.000 pertes d'emplois chez les opérateurs". Finalement, c'est Bouygues lui-même qui déclenche la guerre des prix.