Free peut rester autiste aux yeux de l'UFC-Que Choisir
L'association de consommateurs UFC-Que Choisir ne sera pas condamné pour avoir jugé dans une publication que l'opérateur Free était "incroyablement autiste" dans ses relations avec la clientèle.
Dans un article publié en mai 2006, l'association reprochait notamment à Free de rester sourd aux plaintes des consommateurs sur la qualité de son service, autant pour des problèmes récurrents de connexion que pour la difficulté qu'ils rencontraient à joindre la hotline. L'article avait fait chuté le cours de l'action du groupe Iliad, ce qui avait motivé ses dirigeants à poursuivre le président de l'UFC-Que Choisir Alain Bizot et le rédacteur en chef du magazine de l'association, Jean-Paul Geai.