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EMI reste membre de l'IFPI sous condition d'économies

L'incertitude était telle que l'IFPI a préféré publié lundi un communiqué pour rassurer tous les internautes et professionnels de la musique du monde entier : EMI reste membre de la Fédération Internationale de l'Industrie Phonographique. La maison de disques britannique, désormais contrôlée par le fonds d'investissement Terra Firma, avait critiqué le coût de la participation exigée par la Fédération qui mène la lutte anti-piratage dans le monde, et menacé de claquer la porte au début de l'année.

"EMI a annoncé qu'elle restera membre de l'IFPI, l'association interprofessionnelle qui représente l'industrie du disque dans le monde entier", peut-on ainsi lire dans un communiqué publié lundi non pas par EMI, mais par l'IFPI elle-même. Tout ne semble tout de même pas être resté au statu quo, comme l'explique Jean-François Cecillon, le Président de EMI Music. "Nous nous sommes engagés à travailler avec nos confrères des autres grandes maisons de disques et avec John Kennedy (le président de l'IFPI, ndlr) sur un plan de réduction des coûts pour l'IFPI, explique Cecillon, et ensemble nous avons trouvé des solutions qui nous paraissent réalisables tout en conservant ce que l'IFPI fait de mieux lorsqu'elle représente notre industrie".

Aucune précision n'a été apportée par l'IFPI ou EMI sur la nature des économies prévues. Terra Firma avait notamment critiqué des tâches redondantes entre l'IFPI et d'autres organisations de la profession, comme la RIAA aux Etats-Unis, ou le SNEP en France. Sans doute le montant du chèque signé à l'ordre de l'IFPI était-il cette année moins important que l'année précédente.