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Le gouvernement britannique refuse de bannir les DRM

L'imaginerait-on en France ? Comme nous le rapportions à propos d'une pétition en faveur du droit à la copie privée, le gouvernement britannique a mis en place un site internet qui permet aux contribuables de soumettre des pétitions en ligne et de les signer. Mieux, le gouvernement prend la peine de répondre à certaines d'entre elles. C'est le cas notamment pour une pétition qui demandait purement et simplement l'interdiction d'utiliser des systèmes de gestion des droits numériques (DRM) sur le territoire de Sa Majesté la Reine. Sans surprise, le cabinet de Tony Blair n'a pas accédé à la demande des quelques 1.414 pétitionnaires. "Nous pensons que [les fournisseurs de contenus] devraient avoir la possibilité de continuer à protéger leurs œuvres de cette façon", indique le gouvernement, qui veut ensuite faire croire aux administrés que les DRM sont à leur service. "Le DRM ne fait pas qu'agir comme un policier à travers les mesures techniques de protection, il permet aussi aux entreprises de contenus d'offrir aux consommateurs un choix inédit sur la façon dont ils consomment les contenus, et le prix correspondant qu'ils acceptent de payer". Le gouvernement souhaite toutefois mieux informer les consommateurs (seraient-ils trompés ?) et promet d'autoriser le droit à la copie privée lorsqu'il s'agit de mettre en euvre l'interopérabilité, sans créer pour autant de taxe sur les supports d'enregistrement.