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Glowria teste la vidéo à la demande

Le spécialiste de la location de DVD en ligne Glowria profite du réseau de fibre optique installé à Pau pour tester localement son offre de vidéo à la demande (VOD).

La VOD sera probablement en 2006 ce que la téléphonie sur IP (VoIP) a été en 2005. Tous les fournisseurs d'accès se concentrent sur le déploiement de leur offre grâce à la signature de contrats avec les fournisseurs de contenus. Récemment, c'est Free qui annonçait son partenariat avec le service VOD de Canal+, CanalPlay. Et bien sûr, tous les professionnels de la vidéo cherchent à se placer sur le marché dématérialisé. C'est le cas notamment de Glowria, célèbre pour son service de location de DVD en ligne.

"Pour un démarrage en douceur, il a signé un accord commercial avec EDR-IPVSET, un opérateur ultra haut débit proposant des services multiplay (Internet, téléphonie, télévision, jeux en réseau)", explique ainsi VNUnet.fr"Installé à Pau, il s'appuie sur un réseau local de fibre optique inauguré commercialement en octobre 2004".

La VOD diesel
Pour Glowria, il s'agit essentiellement d'étudier le marché de la VOD en conditions réelles, sans nécessairement se lancer directement sur le marché national. L'expérimentation sur Pau, auprès d'environ 8000 abonnés multiplay de EDR-IPVSET, permet aussi et surtout d'augmenter progressivement le catalogue, jusqu'au jour où il sera assez rempli pour proposer une offre sérieuse sur toute la France. Pour le moment, alors que Glowria propose 8000 DVD en location "physique", le nombre d'œuvres disponibles de façon dématérialisée en VOD ne devrait pas dépasser les 800 titres avant la fin de l'année.

Les distributeurs de contenus en ligne comme Glowria doivent en effet obtenir l'autorisation des ayants-droits avant de pouvoir vendre des œuvres numérisées. Or les négociations avec les studios semblent beaucoup plus tendues qu'avec les producteurs de musique. Pour le moment seuls Warner, Fox, Buena Vista et MGM auraient signé un accord avec Glowria. 

Le service en ligne repose sur un DRM signé Microsoft (Windows Media) pour restreindre l'utilisation que les consommateurs font des œuvres, et celles-ci sont tout de même proposées à un tarif allant de 2 à 4,60 euros le visionnage.