Une erreur dans le texte ?

C'est le bon endroit pour nous l'indiquer !
Attention, ce formulaire ne doit servir qu'à signaler une erreur. N'hésitez pas à utiliser la page de contact pour nous contacter ou nous faire part de vos suggestions. Merci.

Etape 1

Cliquez sur les paragraphes contenant des erreurs !

Sous la contrainte, AFPresque devient RédacFrancePresque

Peu désireux de s'engager dans une aventure judiciaire à l'issue incertaine, le service parodique Agence France Presque a décidé de se renommer en Rédac France Presque.

Fin des ennuis judiciaires pour l'équipe derrière le projet parodique Agence France Presque ? Les responsables du service ont préféré reculer face à l'intimidation d'une mise en demeure envoyée par courrier électronique et céder à la menace d'un procès. Depuis cet après-midi, le compte Twitter @AFPresque a été rebaptisé en @RFPresque (RédacFrancePresque).

Sur la plate-forme de micro-blogging, des explications viennent justifier cette décision. "Après un brainstorming forcé mais collégial, nous allons devenir la Rédaction France Presque. Nous étions peut-être dans notre droit mais nous n'avions pas les épaules pour mener cette affaire plus loin. A notre grand regret... Tout ceci amène de vraies questions sans doute. Posons-les !"

Les tracasseries d'Agence France Presque ont abondamment été commentées sur Twitter, en particulier par le célèbre avocat-blogueur Maître Eolas qui considère que céder face à des gesticulations par accusé de réception ne fait qu'encourager ces pratiques. L'avocat anonyme le plus célèbre de France avait rédigé il y a quatre ans un billet intitulé "Que faire quand on reçoit un courrier d'avocat ?".

Cette affaire n'est pas sans rappeler celle vécue par madame Figaro, une institutrice, il y a quelques semaines. Le groupe Figaro, éditeur du journal du même nom et du magazine "Madame Figaro", a cherché, sous la pression de menaces judiciaires, que l'enseignante renomme son blog dédié à l'enseignement. Mais le dénouement a été plus heureux.

L'institutrice a fini par s'accorder avec le groupe de presse afin que les deux espaces cohabitent en bonne intelligence.