Une erreur dans le texte ?

C'est le bon endroit pour nous l'indiquer !
Attention, ce formulaire ne doit servir qu'à signaler une erreur. N'hésitez pas à utiliser la page de contact pour nous contacter ou nous faire part de vos suggestions. Merci.

Etape 1

Cliquez sur les paragraphes contenant des erreurs !

L'accord entre Free Mobile et Orange attaqué en justice

Deux opérateurs de télécommunications ont déposé une plainte lundi auprès de la brigade financière de Paris. Ils s'en prennent à l'accord d'itinérance conclu entre Free Mobile et Orange consistant à faire transiter les communications du premier sur le réseau du second, là où les antennes-relais du quatrième opérateur ne sont pas encore déployées.

Sale mois de mars pour Free Mobile. Depuis les deux pannes survenues sur son réseau le 2 et 20 mars, le quatrième opérateur n'en finit plus de tomber de Charybde en Scylla. Alors que tout est mis en œuvre pour ne plus revivre une interruption de service, les ennuis et les critiques ont continué à s'accumuler ces derniers jours, au point de jeter un voile sur l'avenir de Free Mobile.

Il y a d'abord eu l'avertissement du président de l'Arcep sur la couverture réseau, puis la mise en garde d'Orange de suspendre unilatéralement son partenariat avec Free suite aux multiples incidents qui ont émaillé l'accord d'itinérance. La dernière flèche décochée contre Free Mobile est venue de l'UFC-Que Choisir. L'association s'en est pris au silence de l'opérateur sur les pannes

Voilà maintenant qu'une plainte s'attaque à l'accord d'itinérance conclu entre Orange et Free Mobile. Le Parisien indique en effet que deux opérateurs, dont l'identité n'a pas été dévoilée, ont déposé plainte lundi auprès de la brigade financière de Paris. Et à en croire le quotidien, ni SFR ni Bouygues Télécom ne sont à l'origine de cette action en justice.

La plainte vient-elle alors des opérateurs de réseau mobile virtuel (MVNO) ? On sait que Virgin Mobile et Numericable n'ont pas apprécié de voir l'Arcep être favorable à un accord d'itinérance entre Free Mobile et l'un des opérateurs du secteur, estimant y voir une rupture d'égalité entre les différents candidats potentiels alors en lice pour la quatrième licence 3G. Ils avaient menacé d'aller devant les tribunaux.