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Steve Jobs accuse l'avarice des majors

Si les majors de l'industrie du disque veulent revoir leur tarif à la hausse pour la musique en ligne, il leur faudra affronter l'opposition farouche de Steve Jobs, le patron d'Apple.

Depuis ses débuts, l'iTunes Music Store d'Apple mise sur une formule simple à comprendre pour le consommateur : un titre, 99 centimes. Que la chanson soit un tube indémodable, le dernier hit à la mode ou un titre de fonds de tiroir qui prend la poussière dans les zones reculées des disques durs d'Apple, il n'y aura pas d'exception.

"S'ils veulent augmenter les prix, ça veut dire qu'ils deviennent gourmands", a indiqué Steve Jobs dans une conférence qu'il donnait à Paris ce mardi. SonyBMG et Warner Music ont protesté depuis quelques mois déjà contre la politique unitarifaire de la Pomme. La maison de disques japonaise souhaiterait que les nouveautés paraissent au tarif de 1,49 €, et que leur prix ne baisse que très progressivement au fur et à mesure de leur perte de vitesse. Pour le très charismatique patron d'Apple, "si le prix augmente, [les clients] retourneront au piratage et tout le monde aura perdu".

Comme nous l'indiquions en août dernier, le français Universal Music semble être lui plutôt en accord avec le créateur de l'iPod. Mais les tensions montent entre le leader de la musique en ligne et les maisons de disques. SonyBMG et Warner Music ont tout simplement refusé leur catalogue à la version japonaise d'iTunes, sortie l'été dernier.

En France, Virgin (le magasin, pas le label) a déjà exprimé son souhait d'augmenter le prix de la musique en ligne dans des promotions semblables. Mais la plateforme ne peut pas raisonnablement proposer un tarif de 1,49 € le morceau lorsqu'Apple, qui domine 80% du marché de la musique en ligne, décide de rester à 99 centimes...