L’industrie du cinéma utilise une nouvelle méthode pour identifier ceux qui échangent illégalement des films via des réseaux P2P comme BitTorrent : les logs des trackers.

Il suffit juste… de regarder le fichier de connexion des internautes d’un serveur proposant des liens « .torrent » permettant de télécharger les œuvres protégés par copyright. Par exemple, le site LokiTorrent proposant des liens « .torrent » vers des fichiers protégés par le droit d’auteur a été fermé en février par une cour de justice texane, et les logs de ce serveur ont été apparamment utilisés par la Motion Picture Association of America (MPAA) pour savoir qui partageait quoi, avec qui, et comment. (La MPAA se défend d’avoir utilisé spécifiquement les logs de Lokitorrent, mais elle aurait utilisé d’autres données du même genre, ndlrc)

286 nouveaux P2Pistes vont bientôt être inquiétés par cette nouvelle pratique de la MPAA.

Et le vice-président de l’association, John Malcom, de lever un doigt vers le ciel en proclamant : « Que les voleurs de films sur Internet soient prévenus. Vous n’avez aucun ami dans la communauté en ligne quand vous vous engagez dans le vol de droit d’auteur« .

La paranoïa est en effet la meilleur des armes pour contrôler les masses. Le « Big Brother » de H.G. Wells George Orwell (le lundi matin est toujours difficile ;-), ndlrc) l’a bien compris….


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