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Antennes-relais : NKM rattrapée par la Justice !

Pas de chance. Mercredi matin, la secrétaire d'Etat à l'économie numérique Nathalie Kosciusko-Morizet propose dans un entretien au Parisien d'organiser un "mini-Grenelle de la téléphonie mobile", en assurant qu'elle a "des doutes sur un impact de l'usage de l'appareil lui-même", mais pas sur les antennes-relais. Pas question de fâcher Orange, Bouygues et SFR. Mais la justice est capricieuse. Quelques heures plus tard, la cour d'appel de Paris condamnait Bouygues Telecom et donnait au contraire raison à trois couples de riverains qui redoutent les effets sur leur santé d'une antenne de télécommunication installée à proximité de leur logement. L'opérateur est condamné à démonter. Outche.

Ni une, ni deux, Nathalie Kosciuko Morizet change son fusil d'épaules. Finalement elle organisera "un Grenelle des antennes", a-t-elle annoncé jeudi à l'Assemblée Nationale.

"Je vous propose une table ronde, un Grenelle des antennes, pour rapprocher les points de vue des parlementaires, des élus, des opérateurs, des scientifiques...et répondre aux attentes croissantes de nos concitoyens", a ainsi déclaré Mme Kosciusko-Morizet.

De son côté, le secrétaire d'Etat à l'Industrie Luc Châtel a assuré en référence au code de bonne conduite des opérateurs que "de nombreuses mesures ont été adoptées en vue de limiter l'exposition du public aux champs électromagnétiques et renforcer la concertation entre riverains et élus lors de l'implantation des antennes".

Et le ministère de la santé ? Silence.