Peut-être avez déjà vu les tracteurs verts qui arborent un cerf sur l’écusson de la marque John Deere.
Le constructeur de l’illinois, qui n’est pas le dernier quand il s’agit d’incorporer des technologies numériques dans ses machines (il faisait des démonstrations de tracteur semi-autonome avant même qu’on en parle pour l’automobile) a eut la bonne idée de bloquer de manière logicielle les réparations “non autorisée”.
Les agriculteurs ont l’habitude de réaliser aux-même la maintenance et la réparation de leurs machines. Cela pour plusieurs raisons : économiques, de délais, de maîtrise de leurs outils de travail, de personnalisation, d’expérimentation…
Mais cette nouvelle politique de John Deere les limites beaucoup dans leurs possibilités. Pour de nombreuses opérations ils sont maintenant obligé de passer par les services de l’entreprise facturés largement à la hauteur de leur réputation en terme de qualité.
Et voilà que certains agriculteurs se tournent vers des crackers ukrainiens et polonais afin de pouvoir eux-même modifier leur machine, au risque de poursuites de la part de l’industriel pour violation de licence.
Ça ne vous donne pas envie d’acheter des véhicules “intelligents” et autre objets connectés vous ?
Histoire complète dans Motherboard (en anglais) :
« Nothing runs like a Deere »
Peut-être qu’il s’est pris un plomb le cervidé…